| Avec humour et amour, Kevin Martin nous raconte sa dépression et ses combats pour s’en sortir, nous parle de sa famille brindezingue et de ses psys, nous dévoile ses peurs et ses espoirs dans un spectacle d’une drôlerie jubilatoire et d’une humanité rare. |
| |
| Au printemps 2018, Kevin, 21 ans, fait un séjour de deux semaines en hôpital psychiatrique. Il décide de profiter de ce "temps libre" pour écrire l’histoire de ses souffrances. Pas pour se plaindre, pas pour dénoncer, juste pour se construire, pour viser le bonheur malgré tout. Et déjà pour s'occuper ! |
| |
| Kevin Martin dépose ses valises est né de ces écrits. "Quitte à se faire chier, autant faire chier tout le monde !" |
| |
| Dans ce spectacle fait de bienveillance, de tendresse et d’une farouche envie de vivre, il n’y a pas de place pour la rancœur et les règlements de compte. Ni pour les concessions ! |
| |
| Kevin ponctue son stand-up de personnages plus truculents les uns que les autres, qu’il incarne avec justesse et une maîtrise inégalée de la rupture : une mère alcoolique, un père sans repère, un grand-père salvateur, un prêtre désorbité, une psychologue limitée, un psychiatre incompréhensible et tant d’autres. |
| |
| Kevin Martin dépose ses valises est un voyage jubilatoire dans l’humain, une plongée drôle et prenante dans la capacité de certaines personnes à se relever là où d’autres restent à terre. Une belle leçon de vie, un spectacle rare ! |
|
Remerciements |
| |
| Nathalie Bathier, Céline Damiot, Agathe Daviet, Luce Bekistan, Jean-Claude Martin, Olivier Xueref, Gilles Sierra, Marie-Chantal Deceur et l'Elfe Mécanique, merci pour vos regards bienveillants et constructifs lors d'une générale qui restera longtemps gravée dans nos mémoires. |
|
